Repêchage 2024: le Canadien parlera cinquième
Le Journal de Montréal
Le Canadien n’a pas bougé. Le 28 juin, dans la Sphère de Las Vegas, Kent Hughes détiendra le cinquième droit de parole.
Selon les probabilités, les chances qu’il glisse au sixième rang étaient de 44%. Comme au cours de la dernière saison, on se console avec les petites victoires.
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Un choix parmi les cinq premiers demeure plus qu’intéressant. C’est le rang identique à celui de l’an dernier avec lequel le Tricolore avait jeté son dévolu sur le défenseur David Reinbacher.
«Savoir qu’on choisit au cinquième rang, ça nous rend heureux. On est confiant d’être en mesure de repêcher un bon joueur», a soutenu Hughes, par voie de visioconférence.
Avec un bassin d’espoirs relativement bien nanti à la ligne bleue, on peut présumer que le Tricolore se tournera du côté d’un attaquant.
Au cinquième rang, il en restera encore plusieurs dont le profil sera intéressant: Ivan Demidov, que certains considèrent comme le joueur le plus habile de ce repêchage, le colossal joueur de centre Cayden Lindstrom, Cole Eiserman, nouveau recordman des buts dans l’histoire du programme de développement américain, et Tij Iginla, un travailleur infatigable, en sont quelques-uns.
Même s’il reconnaît qu’à évaluation égale, il optera pour un joueur d’avant, le directeur général du Canadien a toutefois indiqué que rien n’était coulé dans le béton.
Félix Auger-Aliassime a eu toutes les raisons de croire que sa folle et étrange épopée à Madrid, marquée par le forfait de trois de ses rivaux, se conclurait par le plus prestigieux titre de sa carrière. Mais le Québécois a finalement perdu sa première finale dans un Masters 1000 au terme d’une longue bagarre, dimanche.
Pendant cinq ans, entre 2011 et 2016, les titres de la catégorie Masters 1000 comme celui que tentera de ravir Félix Auger-Aliassime à Madrid, dimanche à compter de 12h30, ont été presque exclusivement remporté par les membres d’un quatuor de légende: Novak Djokovic, Roger Federer, Rafael Nadal et Andy Murray.