Un autre projet suspendu: Éric Caire est la risée des experts
TVA Nouvelles
Le projet d’identité numérique du ministre Éric Caire, ça s’en vient, ça s’en vient... Pas! Sa promesse est figée, prétendument en raison du manque de main-d’œuvre.
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L’identité numérique devait offrir aux Québécois une application mobile donnant accès à tous les services gouvernementaux sur leur téléphone d’ici 2025. Le projet annoncé en 2019 vient s’échouer face à la rareté de main-d’œuvre.
«On a le talent au Québec, alors si on payait les salaires, qu’on montait vraiment une cellule d’experts pour faire ce genre de projets là, il n’y aurait aucun problème», rétorque Éric Parent, expert en cybersécurité et PDG de EVA Technologies.
Découvrez l’entrevue complète d’Éric Parent, expert en cybersécurité et PDG de EVA Technologies, au micro d’Alexandre Moranville sur QUB:
D’après lui, personne ne souhaite travailler pour le gouvernement en raison de la mauvaise gestion de leurs projets.
«Quand on va sur le site du gouvernement, la seule chose qui a de la cohérence, c’est le logo dans le coin en haut à gauche», ironise l’expert en cybersécurité.
Il déplore que l’aspect politique ait pris le dessus sur l’équilibre du projet. Entre l’utilisation pénible de clicSÉQUR et le scandale d’ArriveCAN, Éric Caire serait la risée du monde de la cybersécurité.
Les cours ont officiellement repris le mardi 14 mai dans les trois établissements du Cégep de Lanaudière, dont celui de L’Assomption où j’enseigne et où ma fille est étudiante. J’aurai donc traversé la semaine de suspension de cours comme professeure, mais aussi comme tous les parents de près de 7000 étudiants de la région.
Être l’un des meilleurs de son sport ne rime pas toujours avec millions de dollars dans le compte en banque et voitures de luxe. Plusieurs athlètes québécois, peu soutenus financièrement, en arrachent et font des sacrifices afin de pouvoir continuer à pratiquer leur discipline: travailler jusqu’aux petites heures du matin, renoncer à être propriétaire, dormir en pension lors des tournois...
GATINEAU | L’école secondaire Grande-Rivière, à Gatineau, est l’une des rares écoles secondaires publiques québécoises qui résistent toujours à l’envahisseur: le cellulaire y est interdit partout pendant la journée d’école, sauf exception. Alors que le gouvernement Legault réfléchit à élargir l’interdiction des téléphones intelligents à l’extérieur de la classe, Le Journal s’est rendu dans cette école secondaire pas tout à fait comme les autres.
L'homme d'affaires Peter Sergakis déplore la détérioration de la situation de l’itinérance à Montréal et interpelle le premier ministre, la mairesse de Montréal, le chef du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et le responsable de l'urbanisme de la Ville dans une lettre à laquelle l’Agence QMI a eu accès.