Mouvement pro-palestinien: la police démantèle un campement dans une université à Washington
TVA Nouvelles
La police de la capitale des États-Unis a dispersé mercredi à l'aube un campement propalestinien à l'université George Washington et interpellé 33 personnes, dernière évacuation en date d'un campus américain secoué par des manifestations réclamant la fin de la guerre à Gaza.
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Les forces de l'ordre de Washington, qui avaient au départ renâclé à l'idée d'intervenir selon la presse américaine, ont agi le jour où la maire et la cheffe de la police de la ville devaient être entendues par le Congrès sur le sujet.
L'audition a été annulée, l'élu républicain James Comer se félicitant que la police ait évacué des «manifestants antisémites et hors-la-loi».
Les rassemblements ont ravivé le débat, déjà très tendu dans le pays depuis le début du conflit, sur la liberté d'expression, l'antisionisme et ce qui constitue de l'antisémitisme.
Comme Ivan, 37 ans, nombre de Russes opposés au Kremlin et réfugiés en Géorgie observent avec envie les manifestations que suscite depuis des semaines dans ce pays une loi censée lutter ici aussi contre «l'influence étrangère», mais disent leur inquiétude de voir se répéter un scénario d'usure qu'ils ont vécu chez eux.
Fils d'un mineur de charbon, Lai Ching-te prêtera serment en tant que président de Taïwan lundi et il lui reviendra alors de prendre en charge les relations avec la Chine, en proie à une rupture de plus en plus profonde à mesure que Pékin accroît sa pression militaire et diplomatique sur l'île autonome.